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Résultats de recherche pour : maison de la poesie rennes

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En promenade d’été, la Chronique de ce jour se permet de faire siennes ces paroles échangées autour de l’activité de la Maison de la Poésie de Rennes et Région Bretagne.  » Oui, Josse, Le Pennec, Keineg, Prigent, Dugué… des poètes bretons, j’en oublie plein, pas grave… Maison de la Poésie de Rennes et Région Bretagne […]

    Mise à jour: en date du 05 mai 2022. Abdellatif Laâbi est signataire de L’appel de 80 intellectuels : « Ne nous trompons pas de combat ! Il faut soutenir les Ukrainiens sans calcul ni réserve » – lire ici.

Mon pouvoir était à la portée de tous et résidait tout entier dans la faculté de rêver » Jacques Abeille, poète – La Barbarie.

Il est clair que faire la Chronique, ça débobine des trucs qu’on croyait oubliés… Comme un fichier-son par exemple, mis en ligne il y a quelques années sur un site internet qui depuis a été réactualisé du sol au plafond. Bien sûr, si dans ce cas de figure, les riches archives sont comptées pour du beurre, on […]

 

Quelle profonde inquiétude, quel désir d’autre chose,Autre chose qu’un pays, qu’un moment, qu’une vie,Quel désir, peut-être d’autres états d’âme…                 Fernando Pessoa, poète portugais - extrait en exergue de l'édition 2021 du Printemps des Poètes. Le désir... qu’il chronique ici, je me suis dit, une autre manière de [...]

Peut-être (…) faudrait-il créer le mot SENSURE, qui par rapport à l’autre indiquerait la privation de sens et non la privation de parole. » Bernard Noël, écrivain-poète, critique d’art – L’Outrage aux mots » .

  Dans « L’Évaporation de l’oncle », sur les pas d’un jeune Japonais qui part à la recherche de son oncle disparu, Christine Montalbetti nous emmène en voyage à travers le Japon mythique et préservé des estampes. « Pourquoi est-ce qu’on dit ça, évaporé, pourquoi est-ce qu’on parle d’évaporation, toujours est-il qu’il y en a […]

« La poésie de Jean-Pierre Verheggen : cette grande foire au verbe qui joue de l’approximation, du lapsus, du calembour douteux et de l’erreur de syntaxe pour faire jaillir la joie de parler, même (et surtout) si c’est pour ne rien dire. Car la langue n’a rien d’idéal. Elle n’est ni parfaite ni perfectible. […] C’est […]

« Il tente, grâce à un agencement où tout se retrouve subtilement décalé, de secouer non seulement celui qui écrit (et, du même coup, le lecteur) mais surtout la langue, histoire de la remuer dans la plaie de l’existence. » Bruno Fern, Sitaudis, avril 2014, à propos de Oiseaux, extraits. Lecture à l’occasion de l’édition 2015 du festival […]

Ludovic Degroote interroge la place de l’intime à partir d’expériences personnelles (Un petit viol et Monologue, Pensées des morts), de lieux géographiques (La digue, Barque bleue, zambèze), ou encore de figures artistiques (Eugène Leroy, autoportrait noir, josé tomàs). Il a réalisé de nombreux livres d’artistes et publie régulièrement des chroniques de poésie. Lecture à l’occasion de l’édition 2012 du […]

  Maxime Hortense Pascal est écrivain et poète. « Vit dans le sud de la France. Sur un piton rocheux. Autrement dit un village perché. Écrit au même endroit. Regarde par la fenêtre si les arbres ne décampent pas. Rêve partout. Lit partout. Glane les phrases qui préfèrent les chemins de traverse. » (liberlibra). Lecture à l’occasion […]