Jour : 8 juillet 2010
De François Bon, écrivain : « A quel moment on a su que ce pays n’avait plus de langue ? Tu pouvais parler quand même, sûr : simplement, qui écoutait, qui répondait ? On était sur des chemins parallèles : bien sûr, tout continuait. Ça parlait autant, ça parlait pareil. Peut-être même encore plus fort. […]
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